En 1926, le père fondateur Maurits Vandermarliere commence à fabriquer des cigares dans le grenier situé au-dessus de son magasin de cigares à Moen, en Belgique. En 1936, il ouvre une petite usine de cigares à Heestert, un village voisin, quand la demande devient trop importante pour continuer la chaîne de fabrication dans son grenier. Maurits aurait pu devenir sacristain, mais offrir aux gens un plaisir authentique à fumer s'est avéré être un très bon changement de carrière.
Maurits & Angèle ont 8 enfants. Parmi ceux-ci, quatre fils (Marcel, William, Frans et Guido) et un beau-fils (Raphaël Vercruysse) qui rejoignent J. Cortès, alors appelée Ets. Vandermarliere SA. En 1965, le fils cadet, Guido, monte à bord. En charge de l'exportation, il permet rapidement à l'entreprise de se hisser à un niveau supérieur.
Parmi les moments clés, on compte l'acquisition de Neos Cigar et des usines de TAF, respectivement en 1975 et 1979. Cela fait de la famille l'heureux propriétaire de la marque J. Cortès et permet à la production de grimper en flèche. Et petite anecdocte qui a son importance, Guido est celui qui a l'idée de donner sa couleur bleue à la marque. Evoquant la côte d'Azur, c'est un clin d'oeil à l'aisance
de la jet-set et un véritable coup de génie.
Avec Guido à la tête des opérations, l'entreprise décide de devenir un acteur mondial. En 1986, La famille Vandermarliere a ouvert sa propre usine à bobines, UTP (United Tobacco Processing Ltd), à Katunayake, au Sri Lanka. VCF déménage également son siège social à Zwevegem-Moen et s'installe dans un bâtiment de premier ordre. L'avenir s'annonce brillant pour l'entreprise, avec près de 2 000 employés à travers le monde, différentes marques vendues dans 80 pays et une solide équipe de vente en interne pour les principaux pays européens.
La plus jeune génération, menée par le fils de Guido, Frederik, rejoint l'entreprise. A l'image de son père, il dirige l'entreprise avec passion, savoir-faire, modestie et une mentalité alliant dur labeur et plaisir. Mais Guido n'est jamais loin, toujours prêt à donner un bon conseil ou un coup de main.
Né dans les feuilles de tabac,Fred continue de se battre pour l'industrie
dans un véritable style cortésien, avec pour devise:
Don’t smoke but enjoy!
En 2016, Fredje est tombé amoureux de la société de fabrication artisanale d’Oliva cigars, basée aux États-Unis et au Nicaragua. Un mariage d’entreprise fut organisé et est devenu la fête de l’année ! L’entreprise familiale J.Cortès s’étend maintenant sur deux continents. Jetez un œil au monde fascinant d’Oliva Cigars, renommée pour ses cigares faits à la main.